Jeux de sexe à sept cordes...
17 juillet 2015
Nous somme toujours open pour partager nos photos et surtout des commentaires…
Partage avec couple ou femme, les gros plans de vos sexes messieurs ne me font pas mouiller… Par contre mon compagnon photographe aime lui découvrir des nouveaux petits minou…
Moi j’aime bien recevoir des commentaires sur nos photos et j’aime bien recevoir vos petites photos intimes et j’aime répondre pas des ressemblantes…
A vos plumes, à vos appareils photos…
La série du jour, jeux à 7 cordes… il y en a tous plein d’autres, alors commentez…
Partage avec couple ou femme, les gros plans de vos sexes messieurs ne me font pas mouiller… Par contre mon compagnon photographe aime lui découvrir des nouveaux petits minou…
Moi j’aime bien recevoir des commentaires sur nos photos et j’aime bien recevoir vos petites photos intimes et j’aime répondre pas des ressemblantes…
A vos plumes, à vos appareils photos…
La série du jour, jeux à 7 cordes… il y en a tous plein d’autres, alors commentez…
4 photos
En ce moment sur
En ce moment sur
Commenter cet album
Anonyme
20 novembre 2021 - 16h40
On dit souvent que les extrêmes s'attirent. De petite taille, elle était toute menue avec des petites fesses, des petits seins.
Un corps de gamine en quelque sorte.
Avec une bonne vingtaine de centimètres de plus qu'elle, j'étais plutôt athlétique, avec des hanches et des cuisses généreuses, accentuées par l'arrêt de la pratique de la gymnastique en compétition.
Nous avions une attirance mutuelle que je ne pouvais expliquer me concernant, autrement que par le fantasme inavoué de lui faire découvrir le sexe avec son physique d'enfant.
Quand nous faisions l'amour, j'étais transportée dans un univers propre à l'initiation, comme si je lui faisais découvir sa sexualité.
Je commentais chacun de mes gestes, avec pédagogie, caressant tantôt ses seins qui tenaient presque entièrement dans la paume de ma main ou introduisant délicatement un doigt dans son vagin très étroit et aride qui n'avait jusqu'alors accueilli que des tampons périodiques. Elle raffolait de mes seins de taille respectable, au milieu desquels sous ses caresses, se dressaient fièrement leurs pistils, de mes rondeurs qu'elles massaient voluptueusement en faisant rouler ses doigts sur ma peau. Mais elle aimait surtout quand j"étais adossée à un oreiller face à elle, posée sur mes avant bras, les jambes faisant le grand écart au point qu'elles séparaient totalement mes grandes lèvres pour révéler intégralement l'anatomie de mon sexe. Elle pouvait y glisser la pointe de sa langue agile pour explorer dans les moindres recoins des tissus tapissés d'une substance caséeuse qui trahissant le plaisir que j'éprouvais déjà, en même temps que ses mains pouvaient caresser mes seins aux rondeurs maternelles.
Assez autoritaire, elle dirigeait nos rapports et je me soumettrais docilement à ses fantaisies tant qu'elles restaient conventionnelles, ce qui excluait, malgré son insistance, qu'elle introduise quoi que ce fut dans mon anus. Tout juste étais-je disposée à accepter que l'extrémité d'un doigt s'aventure à l'entrée de l'orifice.
Au fil du temps, j'avais perçu sa frustration sans toutefois céder à ce fantasme grandissant qui était vecteur de dégoût, et non de plaisir.
Un matin, j'eus la surprise de me réveiller inhabituellement étendue sur le ventre, la joue posée sur l'oreiller. En voulant me relever, je constatais que mes bras étaient entravés....
Très rapidement, je me rendis compte que mes mains étaient liées derrière mon dos. En tentant de ramener mes genoux sous mon buste pour me redresser, je faisais le même constat. Mes chevilles, dont chacune était attachée à un des pieds antérieur du lit maintenaient mes jambes largement écartées.
J'étais seule dans la maison et c'est en me En relevant la tête, une feuille de papier collée sur la tête du lit avec le message suivant <à ce soir> m'informait que j'étais seule dans la maison.
En recouvrant progressivement mes esprits, tout devenait parfaitement clair.
De toute évidence, il ne s'agissait pas s'un cambriolage. J'avais été droguéé à mon insu, vraisemblablement lors du dîner que nous avions partagé la veille, sans doute avec un soporifique puissant.
De toute évidence mon amie me réservait une surprise et m'avait appareillée de la sorte pour m'imposer quelque chose auquel j'étais opposée.
J'ai tout de suite pensé au rapport anal que je lui avais systématiquement refusé, malgré son insistance croissante, et mon inquiétude résidait surtout quant aux conditions dans lesquelles elle voulait assouvir son fantasme, seule ou peut être avec d'autres protagonistes.
J'étais à la fois traversée par une coupable excitation de vivre quelque chose qu'interdisait ma conception de la sexualité résultant de mon éducation,
et par la peur d'une mise en scène que j'ignorais.
Connaissant mon passé de gymnaste et ma souplesse, elle savait qu'en me laissant un tant soi peu de liberté de mouvement, je ne renoncerai pas à me libérer, tout en étant elle même convaincue que je n'y parviendrai pas.
D'abord je devais détacher mes mains, et en me contorsionnant, je parvins à voir comment j'étais ficelée grâce au miroir fixé sur le mûr opposé à la tête du lit.
Manifestement, elle avait soigneusement préparé son projet.
Liant solidairement mes deux avant bras croisés avec un noeud très serré, une sangle plate et adhérentes rendait toute tentative de me détacher seule improbable.
Elle l'avait nouée positionnée loin de mes mains de sorte qu'elles ne puissent pas m'en saisir.
Sa texture caoutchouteuse qui collait littéralement à la peau m'empêchait de la faire glisser jusqu'au poignets et quand bien même j'y serai parvenue, il aurait été impossible d'en saisir les extrémités qu'elle avait coupées à ras après les noeuds.
Il ne me restait d'autre alternative que de détacher préalablement mes chevilles afin de pouvoir me déplacer librement dans la maison en espérant trouver un outil coupant et accessible pour sectionner les sangles.
Optant pour cette solution, je parvins à me laisser glisser sur le ventre jusqu'au bord du lit pour poser mes pieds au sol, avant de fléchir les jambes suffisamment pour m'asseoir à terre face au lit sans toutefois perdre l'équilibre et basculer en arrière sur le dos.
Je me retrouvais Les fesses posées sur le sol face au lit, les jambes écartées, et ne pu m'empêcher de laissais échapper un soupir de résignation en constatant que mon amie avait pensé à tout.
Les sangles qui maintenaient chacune de mes chevilles attachées à un des pieds antérieurs du lit, en faisaient plusieurs fois le tour avant de rejoindre ceux, à l"autre extrémité du lit auxquelles elles étaient attachées si bien qu'il m'était impossible d'en atteindre l'extrémité.
Eloignée de moins d'un mètre du bord lit auquel je faisais face, les jambes maintenues écartées, j'aurais été obligée d'effectuer un grand écart facial pour me retrouver ventre à terre, et tenter de me glisser sous le lit pour atteindre les deux pieds situés à l'autre extrémité du lit en espérer dénouer les sangles avec ma seule bouche.
C'était à quitte ou double, car si j'échouais, je n'aurais plus l'énergie suffisante pour toute autre tentative de libération.
Regardant autour de moi tout ce qui pourrait m'aider, je ne constatais guère autre chose qu'un radio réveil posé sur une table de nuit et un pot de chambre placé au pied du lit près de l'endroit où j'étais assise afin que je puisse éventuellement uriner, envisageant que je pourrais l'atteindre
Elle n'avait évidemment rien laissé au hasard, imaginant comment je chercherais à me libérer, entretenant un climat de stress avec la présence du réveil, agissant tel un compte à rebours...
Un corps de gamine en quelque sorte.
Avec une bonne vingtaine de centimètres de plus qu'elle, j'étais plutôt athlétique, avec des hanches et des cuisses généreuses, accentuées par l'arrêt de la pratique de la gymnastique en compétition.
Nous avions une attirance mutuelle que je ne pouvais expliquer me concernant, autrement que par le fantasme inavoué de lui faire découvrir le sexe avec son physique d'enfant.
Quand nous faisions l'amour, j'étais transportée dans un univers propre à l'initiation, comme si je lui faisais découvir sa sexualité.
Je commentais chacun de mes gestes, avec pédagogie, caressant tantôt ses seins qui tenaient presque entièrement dans la paume de ma main ou introduisant délicatement un doigt dans son vagin très étroit et aride qui n'avait jusqu'alors accueilli que des tampons périodiques. Elle raffolait de mes seins de taille respectable, au milieu desquels sous ses caresses, se dressaient fièrement leurs pistils, de mes rondeurs qu'elles massaient voluptueusement en faisant rouler ses doigts sur ma peau. Mais elle aimait surtout quand j"étais adossée à un oreiller face à elle, posée sur mes avant bras, les jambes faisant le grand écart au point qu'elles séparaient totalement mes grandes lèvres pour révéler intégralement l'anatomie de mon sexe. Elle pouvait y glisser la pointe de sa langue agile pour explorer dans les moindres recoins des tissus tapissés d'une substance caséeuse qui trahissant le plaisir que j'éprouvais déjà, en même temps que ses mains pouvaient caresser mes seins aux rondeurs maternelles.
Assez autoritaire, elle dirigeait nos rapports et je me soumettrais docilement à ses fantaisies tant qu'elles restaient conventionnelles, ce qui excluait, malgré son insistance, qu'elle introduise quoi que ce fut dans mon anus. Tout juste étais-je disposée à accepter que l'extrémité d'un doigt s'aventure à l'entrée de l'orifice.
Au fil du temps, j'avais perçu sa frustration sans toutefois céder à ce fantasme grandissant qui était vecteur de dégoût, et non de plaisir.
Un matin, j'eus la surprise de me réveiller inhabituellement étendue sur le ventre, la joue posée sur l'oreiller. En voulant me relever, je constatais que mes bras étaient entravés....
Très rapidement, je me rendis compte que mes mains étaient liées derrière mon dos. En tentant de ramener mes genoux sous mon buste pour me redresser, je faisais le même constat. Mes chevilles, dont chacune était attachée à un des pieds antérieur du lit maintenaient mes jambes largement écartées.
J'étais seule dans la maison et c'est en me En relevant la tête, une feuille de papier collée sur la tête du lit avec le message suivant <à ce soir> m'informait que j'étais seule dans la maison.
En recouvrant progressivement mes esprits, tout devenait parfaitement clair.
De toute évidence, il ne s'agissait pas s'un cambriolage. J'avais été droguéé à mon insu, vraisemblablement lors du dîner que nous avions partagé la veille, sans doute avec un soporifique puissant.
De toute évidence mon amie me réservait une surprise et m'avait appareillée de la sorte pour m'imposer quelque chose auquel j'étais opposée.
J'ai tout de suite pensé au rapport anal que je lui avais systématiquement refusé, malgré son insistance croissante, et mon inquiétude résidait surtout quant aux conditions dans lesquelles elle voulait assouvir son fantasme, seule ou peut être avec d'autres protagonistes.
J'étais à la fois traversée par une coupable excitation de vivre quelque chose qu'interdisait ma conception de la sexualité résultant de mon éducation,
et par la peur d'une mise en scène que j'ignorais.
Connaissant mon passé de gymnaste et ma souplesse, elle savait qu'en me laissant un tant soi peu de liberté de mouvement, je ne renoncerai pas à me libérer, tout en étant elle même convaincue que je n'y parviendrai pas.
D'abord je devais détacher mes mains, et en me contorsionnant, je parvins à voir comment j'étais ficelée grâce au miroir fixé sur le mûr opposé à la tête du lit.
Manifestement, elle avait soigneusement préparé son projet.
Liant solidairement mes deux avant bras croisés avec un noeud très serré, une sangle plate et adhérentes rendait toute tentative de me détacher seule improbable.
Elle l'avait nouée positionnée loin de mes mains de sorte qu'elles ne puissent pas m'en saisir.
Sa texture caoutchouteuse qui collait littéralement à la peau m'empêchait de la faire glisser jusqu'au poignets et quand bien même j'y serai parvenue, il aurait été impossible d'en saisir les extrémités qu'elle avait coupées à ras après les noeuds.
Il ne me restait d'autre alternative que de détacher préalablement mes chevilles afin de pouvoir me déplacer librement dans la maison en espérant trouver un outil coupant et accessible pour sectionner les sangles.
Optant pour cette solution, je parvins à me laisser glisser sur le ventre jusqu'au bord du lit pour poser mes pieds au sol, avant de fléchir les jambes suffisamment pour m'asseoir à terre face au lit sans toutefois perdre l'équilibre et basculer en arrière sur le dos.
Je me retrouvais Les fesses posées sur le sol face au lit, les jambes écartées, et ne pu m'empêcher de laissais échapper un soupir de résignation en constatant que mon amie avait pensé à tout.
Les sangles qui maintenaient chacune de mes chevilles attachées à un des pieds antérieurs du lit, en faisaient plusieurs fois le tour avant de rejoindre ceux, à l"autre extrémité du lit auxquelles elles étaient attachées si bien qu'il m'était impossible d'en atteindre l'extrémité.
Eloignée de moins d'un mètre du bord lit auquel je faisais face, les jambes maintenues écartées, j'aurais été obligée d'effectuer un grand écart facial pour me retrouver ventre à terre, et tenter de me glisser sous le lit pour atteindre les deux pieds situés à l'autre extrémité du lit en espérer dénouer les sangles avec ma seule bouche.
C'était à quitte ou double, car si j'échouais, je n'aurais plus l'énergie suffisante pour toute autre tentative de libération.
Regardant autour de moi tout ce qui pourrait m'aider, je ne constatais guère autre chose qu'un radio réveil posé sur une table de nuit et un pot de chambre placé au pied du lit près de l'endroit où j'étais assise afin que je puisse éventuellement uriner, envisageant que je pourrais l'atteindre
Elle n'avait évidemment rien laissé au hasard, imaginant comment je chercherais à me libérer, entretenant un climat de stress avec la présence du réveil, agissant tel un compte à rebours...
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
acadie69
31 juillet 2015 - 16h56
Je ne suis pas fou de clitoris et de petites lèvres mais avec le jeu de cordelettes rouges et le ventre bien épilé ces photos sont tout à fait agréables à voir...
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
varg 94
17 juillet 2015 - 21h57
superbe belle chatte miaouuu
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
hormigon
17 juillet 2015 - 21h10
Superbes photos d´un minou magnifique, j´admire ton corps.
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
rocco79
17 juillet 2015 - 16h58
tres joli ca donne faim lol
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
Faumont
17 juillet 2015 - 16h06
franchement bravo.
les mise en scène sont minimaliste mais tellement sexy. cet albums est d'une sensualité envoûtante, la superbe vulve exquise de madame et 7 cordelettes rose bien utiliser, les talents de monsieur a la photos et vous nous faite un solendide tableau érotiques sobre mais tellement coquin.
J'adore!
les mise en scène sont minimaliste mais tellement sexy. cet albums est d'une sensualité envoûtante, la superbe vulve exquise de madame et 7 cordelettes rose bien utiliser, les talents de monsieur a la photos et vous nous faite un solendide tableau érotiques sobre mais tellement coquin.
J'adore!
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
did
17 juillet 2015 - 14h54
Jolies photos, çà nous donnent envie de partager avec vous !
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
charlotin
17 juillet 2015 - 14h05
Vraiment sexy bravo . Oui je peux envoyer photos de mon sexe
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
pas75013
17 juillet 2015 - 10h21
hummm des photos trés excitantes rasé ton minou est sublime j'adore
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
rancho59460
17 juillet 2015 - 10h14
superbes lèvres charnues!! un plaisir d'y glisser la langue!!!! se delecter de ta mouille!! huuuuum!!! des fesses hyper sexiiies!!!
envie de decouvrir le reste de ce superbe corps?????
envie de decouvrir le reste de ce superbe corps?????
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
letonton63
17 juillet 2015 - 07h13
je voudrais bien etre a la place du string, tres belle chatte bien lisse a lecher avec passion !!!
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
Anonyme
17 juillet 2015 - 06h49
Merci. Superbe femme aussi
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
Anonyme
17 juillet 2015 - 06h19
ça veut dire quoi '"open"??
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
Anonyme
17 juillet 2015 - 06h14
Je ferai bien le mediator
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
oscar728
17 juillet 2015 - 06h00
j'adore ton instrument à 7 cordes! j'entends une douce musique mais je pense qu'il a besoin d'être accordé je pourrais peut être t'aider à retendre ces cordes, je suis sûr que tu as besoin d'aide! bisous
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
torero
17 juillet 2015 - 04h57
Tres mignon hummm,laquelle corde te fait le plus d'effet ma jolie ?
J'adore ta minette toute lisse un vrai bonheur pour mes yeux gourmand.
Bisous coquins
J'adore ta minette toute lisse un vrai bonheur pour mes yeux gourmand.
Bisous coquins
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210
victor victor
16 juillet 2015 - 23h41
Très elles photos et le thème fort troublant
Ces cordes qui disparaissent dans ces moites profondeurs
Ce fruit fermé d'où émergent les petites lèvres discrètes
Ces cordes qui disparaissent dans ces moites profondeurs
Ce fruit fermé d'où émergent les petites lèvres discrètes
star
Ce commentaire a été étoilé par nous44210